Pour une paix durable, il faut se préparer à la guerre. C’est un adage qui se confirme à cette ère où les risques d’attaques et la délinquance montent sans cesse en puissance. Pour survivre, il faut désormais avoir une très bonne capacité de réaction et se préparer à toute éventualité en s’équipant convenablement. Dans cette optique, les armes de survivalisme se révèlent d’une très grande utilité. Cet exposé vise à vous aider dans le choix de votre arme de survivaliste.
Les armes blanches
Dans le survivalisme, les armes blanches sont la première catégorie la plus accessible et la plus répandue. Cette catégorie regroupe en général les armes tranchantes comme le couteau de survie, celles contondantes et celles perforantes. Ce type d’arme peut s’acheter très facilement, car n’étant soumis à aucune réglementation. Elle sert simultanément d’outil et d’arme pour le survivaliste. Toutefois, dans certains pays comme la France, il n’est pas autorisé d’en porter sur soi.
Le poignard à étui
Le poignard est l’arme de survie par excellence. Lorsque votre choix se porte sur cette arme, il faut s’en procurer avec un étui. Ce matériel protège la lame et préserve le survivaliste des coupures accidentelles. En milieu urbain, le poignard est assez discret et peut facilement se cacher dans le sac.
Même si son port est prohibé en France, mis à la ceinture, il dissuade les potentiels agresseurs qui préfèrent les cibles sans défense. Pour le survivalisme en forêt, cette arme multifonction peut s’utiliser pour chasser, tailler des flèches ou encore couper du bois.
Les bâtons électriques et aérosols
Pour un survivaliste, les bâtons électriques et les aérosols sont des armes de défense efficaces surtout dans les stations métro. En plus d’être faciles d’utilisation, ils sont assez discrets et peu encombrants à cause de leur légèreté. Plusieurs personnes préfèrent cependant le bâton électrique qui combine selon le modèle un taser et une torche afin de faciliter l’utilisation dans l’obscurité. Pour utiliser comme armes de survivalisme les aérosols, il peut être indispensable d’avoir une autorisation puisqu’elles sont dans la catégorie B.
L’arbalète
En milieu sauvage, l’arbalète est l’arme de survivalisme qui convient le mieux. Cette arme de précision peut s’utiliser tant pour la chasse que pour la survie dans un milieu hostile tel qu’une forêt vierge. Ce qui en fait une arme par excellence en milieu hostile, ce sont ses caractéristiques :
- puissante ;
- facile à manipuler ;
- silencieuse ;
- utilisable à distance.
En effet, grâce à sa puissance l’arbalète peut même pénétrer la peau d’un alligator. Elle est facile à manipuler, silencieuse et peut s’utiliser pour la défense à distance contre un reptile. En outre, il faut noter que les arbalètes sont des armes de survivalisme en vente libre utilisables en milieu urbain à condition d’être déclarées. Certains modèles sont même équipés de viseur de précision et dotés de rechargement automatique.
Les armes à feu
Dans le survivalisme, il n’est pas autorisé d’utiliser les armes de guerre de la catégorie A. Il s’agit en gros des mitrailleuses et des pistolets automatiques de l’armement militaire. Toutefois, il est possible de servir d’armes à feu des catégories B, C et D comme arme de survivaliste. On retrouve dans ces catégories des armes telles que :
- les pistolets ;
- les armes de poing ;
- les carabines de chasse ;
- les revolvers de petit calibre.
Le problème, c’est qu’en France et dans plusieurs autres pays le port de ce type d’arme est soumis à l’obtention d’une autorisation des autorités compétentes. En tant que survivaliste, vous pouvez vous contenter d’un permis de chasse ou être membre d’un club de tir professionnel en attendant votre autorisation de port d’arme. Cela vous permettra aussi de mieux maitriser l’utilisation de votre arme de survie.
Articles similaires
- Les arbalètes Décathlon sont-elles intéressantes ?
- Quels sont les lance-pierres les plus performants du marché ?
- Accueil
- Pansement compressif israélien : caractéristiques, avantages, méthode et circonstances d’utilisation
- Qui sommes-nous ?
